Kamoa Copper est fier d’annoncer les résultats du troisième trimestre 2024, lors duquel elle a broyé un volume total de 3,3 millions de tonnes de minerai et produit un volume record de 116 313 tonnes de cuivre dans le concentré dont 40 025 tonnes au mois de septembre 2024 avec le concentrateur de la phase 3 qui connait actuellement une augmentation de sa production. À la fin de ce trimestre, la puissance du concentrateur de la phase 3 atteint la stabilité en ce qui concerne le débit et la récupération.
Pour l’année 2024, Kamoa Copper a produit 303,328 tonnes de cuivre dans le concentré en atteignant un taux de production quotidien record de 1,334 tonnes de cuivre par jour sur une période de 30 jours. La production moyenne quotidienne a augmenté encore pendant la dernière semaine de septembre jusqu'à atteindre 1,460 tonnes de cuivre par jour.
Au cours du troisième trimestre, les concentrateurs de la phase 1 et 2 de Kamoa Copper ont broyé environ 2,2 millions de tonnes de minerai avec une teneur moyenne en cuivre de 4,9 %. La production de cuivre de ce 3eme trimestre des concentrateurs de Phase 1 et 2 s'élevait à 94,214 tonnes, avec une récupération moyenne de 86,6%.
Lors du troisième trimestre 2024, le concentrateur de la phase3, qui a produit son premier concentré le 10 juin 2024, a broyé environ 1,1 million tonnes de minerai avec une teneur moyenne de 2,6 % de cuivre. L'alimentation du concentrateur pendant cette période était principalement issue du remblai constitué lors du développement primaire. Le concentrateur phase 3, qui a réalisé une production commerciale au cours de ce trimestre, a produit 22,099 tonnes de cuivre dans le concentres à une récupération en moyenne de 79,9%, ce qui confirme la reprise en cours.
Suite à la mise en service des broyeuses fines du concentrateur de la phase 3 au début du mois de septembre, des améliorations continues dans le débit de production et les taux de récupération ont été réalisés. Au cours de la dernière semaine de septembre, le concentrateur a broyé 117,484 tonnes, ce qui correspond à un traitement de minerais projeter annuellement a plus de 5,5 millions tonnes par an pour la phase 3. De plus, pendant la même période, le taux de récupération du cuivre du concentrateur a augmenté à un taux moyen de 84%.
Le groupe d'opérations de Kamoa prévoit d'atteindre le taux de récupération au-dessus de 86% au cours du quatrième trimestre, ce qui permettra d'atteindre une production stable. De plus, le groupe vise également à augmenter la qualité de l'alimentation pour le concentrateur de la phase 3 a 3% de Cuivre alimenter d'ici le premier trimestre 2025, pendant que les réserves de minerai continuent d'être développées directement vers les zones de haut niveau dans les mines sous-terraines Kamoa 1 et Kamoa 2.
À la fin du trimestre, la capacité totale de génération de l'énergie de secours est de 135 MW, suite à l'installation et à la mise en service d'un autre générateur de 72 MW pendant le trimestre. La capacité de secours énergétique sur place est suffisante pour alimenter les concentrateurs des phases 1 et 2 à pleine puissance en cas d'interruption de courant. Le plan prévoit d’avoir une capacité de génération de secours de 201 MW installée sur le site d'ici la fin de l'année. De plus, l’électricité importée de la Pool énergétique d'Afrique australe, par le biais du l’interconnexion avec la Zambie, s'élève à 65 MW à la fin du trimestre. Des discussions sont en cours pour augmenter la quantité d’électricité importée à plus de 100 MW d'ici la fin de l'année.
Les nouvelles prévisions reflètent la perte de production causée par des interruptions du réseau électrique de la RDC, en particulier avant l'installation d'une capacité de générateurs supplémentaire et les accords d’importation d'électricité pour combler les manques du réseau électrique congolais. Ces prévisions prennent également en compte la mise en service du concentrateur de la phase 3, qui tourne maintenant à pleine capacité depuis la fin du troisième trimestre.
La nouvelle projection de production de Kamoa Copper pour 2024 repose sur plusieurs suppositions et estimations datant du 30 septembre 2024, il s'agit d'estimations de risques connus et inconnus, d'incertitudes et d'autres facteurs qui peuvent modifier considérablement les résultats réels.